2 POIDS - 2 MESURES

Vendredi 19 mars 2010, c'est l'heure de la prière dans la mosquée illégale, rue d'Epinay.

Comme tous les vendredis (les autorités le savent), des voitures garées partout sur les trottoirs de la rue d'Epinay et la rue des Poiriers. Mais pas garées de façon à laisser passer les piétons, non, carrément sur le trottoir.

13 h 07, j'appelle le commissariat, un agent charmant me dit que c'est le rôle de la Police Municipale, mais que néanmoins, il prévient ceux-ci.

Ne voyant rien arriver, j'appelle la Police Municipale à 13 h 29, qui me confirme bien avoir eu un appel de la Police Nationale et qu'ils arrivent.

Vous n'allez pas me croire, j'ai vu le véhicule de la Police Municipale à 13 h 41, qui est passé tranquillement rue d'Epinay, ils ont tracé sans même s'arrêter, sachant que les fidèles commencent à repartir à cette heure là et qu'à 14 h, il n'y a plus personne.

Garez vous avec les 2 roues de votre véhicule qui chevauchent à peine le trottoir et vous allez voir comment ils vont vous aligner en un rien de temps.

Est-ce à dire que nous, habitants de Montmagny, qui payons cette Police à travers nos impôts, la payons pour qu'elle nous fasse payer une deuxième fois alors que nous sommes garés devant chez nous et que des étrangers à la commune auraient plus de privilèges que nous ?

Et pourquoi ?

Ce qui est sûr, c'est que vous ne verrez jamais la Police vérifier si ils ont une vignette d'assurance apposée au pare brise ou leur faire une remontrance sur la façon qu'ils ont de se garer, ce qui n'est pas le cas pour nous habitants de Montmagny. Que ce soit la Nationale ou la Municipale, ceux-ci ne viennent jamais à l'heure des prières.

Je sais de quoi je parle et je trouve cela vraiment scandaleux et encore plus si c'est fait de façon délibérée.

Y'a de quoi se marrer (même si c'est avec notre pognon) quand on reçoit le magazine "ensemble", dans lequel on vous parle des nouveaux moyens pour "notre" police intercommunale. Faudrait déjà qu'ils se déplacent lorsqu'un administré appelle 10 fois en 4 mois, pour la même chose et qu'ils fassent au moins semblant d'agir.